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La rébellion des sauvageonnes: comment reconnecter avec les plantes sauvages, pour notre plus grand bien

Une exploration créative et nourrissante des plantes sauvages

Est-ce qu’il t’arrive de te balader en montagne ou dans la forêt, et de tomber en pâmoison devant une plante sauvage, encore inconnue et mystérieuse?

Voilà une chose qui arrive souvent aux personnes que je côtoie.

Pourtant, après un premier regard plein d’admiration, une grande frustration peut parfois les saisir, face à l’incertitude.

Comment identifier cette plante? Peut-on la cueillir sans risque? Comment l’utiliser ensuite en cuisine? Puis-je en consommer les feuilles seulement? Est-il possible de la manger crue? S’agit-il de fleurs comestibles, et qu’en est-il est-il des bourgeons? Tant de questions, souvent sans réponses.

Te reconnais-tu dans ces moments de curiosité mêlée de frustration?

Identifier et cuisiner les plantes sauvages en toute sécurité

Pour les esprits curieux mais prudents, qui veulent connaître les plantes, le défi est double: assurer la sécurité et enrichir les savoirs. Et dans ce genre de situations, les heures passées à naviguer sur internet ou à éplucher les livres de botanique ou de cuisine sauvage peuvent laisser un sentiment de perplexité.

Sans personne pour nous guider sur ce chemin de connaissance, il peut s’avérer difficile de passer à l’action. Et peut-être est-ce également ton cas, parfois? Quelles sont alors tes principales hésitations ou les obstacles que tu rencontres?

Un programme sur mesure pour étancher ta soif de savoir: Materia Botanica

C’est pour répondre à cette quête de connaissances que j’ai conçu le programme « Materia Botanica », qui pourrait t’inspirer dans tes propres explorations.

Depuis 3 ans, je le pratique en ligne, dans des sessions hebdomadaires (ou presque). Mais ce programme est le fruit d’un peu plus de 10 ans d’ateliers animés sur le terrain, en montagne, le long des petits chemins, dans les prés et les sous-bois.

Comment sécuriser l'identification: allier un besoin de rigueur et de ralentissement

Il y a dix ans, dans les montagnes et pâturages des pré-Alpes, il m’arrivait de présenter jusqu’à une trentaine de plantes en une seule journée. Puis les cuisiner le soir venu. De quoi avoir le tournis. Et de quoi, parfois, se mélanger les esprits et les spatules.

Désormais, c’est sur une année que sont présentées ces plantes. En ligne, nous avançons au rythme d’une plante par semaine, principalement de mars à novembre, avec quelques semaines de pause. En présentiel, je garde le focus sur 1 à 3 plantes au maximum.

Au fil des mois, nous explorons ainsi de nombreuses plantes: plantain, ortie, égopode, achillée millefeuille, églantier, pimprenelle,… de quoi composer de beaux herbiers, mais aussi agrémenter une multitude de salades sauvages fleuries, remplies d’herbes aromatiques ou médicinales, cuisiner de délicieux petits plats sains, inventer de nouvelles recettes.

Au fond, le programme est une alchimie entre la simplicité et la rigueur scientifique, avec une touche de créativité. Au cœur de la démarche, nous prenons le temps de dessiner les plantes, d’en observer les détails caractéristiques, et de les comparer avec leurs faux-amis qui pourraient leur ressembler.

Ainsi, de manière systématique, nous prenons le temps de porter notre attention sur au moins deux critères d’identification, si possible trois, ou plus, permettant de distinguer la plante observée. Qu’il s’agisse de son habitat, de la forme de ses feuilles, ou de leurs nervures, de l’organisation de ses inflorescences, de son aspect glabre ou velu, de son odeur, de sa texture, de la couleur de ses fleurs, ou toute autre information rigoureusement observable.

Le croisement de plusieurs critères d’identification est ainsi l’une des clés fondamentale pour un cueillette plus sûre. Ceci est fondamental, car c’est parfois un petit détail qui permettra de faire la différence entre une délicieuse plante comestible et une mortelle toxique.

Le dessin botanique comme outil de ressourcement

Dans cet esprit de ralentissement et d’approfondissement, chaque session de « Materia Botanica » utilise ainsi le dessin botanique contemplatif comme un moment d’apprentissage et de ressourcement.

En dessinant, tu ne fais pas que capturer l’image d’une plante; tu apprends à observer finement ses caractéristiques, ce qui renforce ta mémoire et ta connexion intime avec la nature.

As-tu déjà essayé de dessiner des plantes lors de tes balades? Si c’est le cas, qu’as-tu ressenti? Et si ce n’est pas encore le cas, peut-être pourrais-tu essayer lors de ta prochaine balade?

Dessin de plante sauvage (égopode) avec des stylos et une boîte d'aquarelle

La cuisine des plantes sauvages: un acte d'émancipation

Après, si tu veux aller plus loin, je te recommande d’investir ce qui sera nécessaire pour récolter les plantes en toute sécurité. La plupart des plantes sauvages comestibles sont également de grandes médicinales. A contrario, certaines plantes toxiques peuvent être fatales. Dans tous les cas, il est fondamental d’acquérir tes connaissances de manière fiable et rigoureuse.

Et c’est là où réside la véritable rébellion: reprendre ton pouvoir et ton autonomie par un chemin de connaissance. Et pas en improvisant à l’aveuglette.

Car voici ce à quoi je tiens par-dessus tout: que les incertitudes se transforment en connaissances, le doute en enthousiasme et la frustration en fierté. Tu ne seras alors plus simplement en visite dans la nature; tu pourras y jouer le premier rôle, utilisant ce que tu as appris pour enrichir aussi bien ton corps que ton esprit, au quotidien.

Est-ce que tu sens que le moment est venu de prendre un temps pour toi, et tisser un lien plus intime avec le monde des plantes sauvages comestibles? Si tu souhaites le faire en bonne compagnie, rejoins-nous et avançons ensemble sur ce chemin.

Alors commencera ton voyage vers cette rébellion des sauvageonnes.

Il est possible de rejoindre les cours en ligne à tout moment.
Ils ont lieu chaque semaine, ou presque. 

Quant aux ateliers en présentiel, chaque session de la série « printemps-été » abordera l’une ou l’autre des plantes majeures que sont: le sureau noir, l’achillée millefeuille, l’ortie, le tilleul, la reine-des-prés, et la berce spondyle, notamment.

Clique ici pour t’inscrire dès maintenant, explorer les plantes, les dessiner et les cuisiner

C’est en mai et juin que les plantes sauvages nous offrent leurs plus beaux trésors.
Quelle belle occasion pour s’immerger dans leur univers!

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