fbpx
Radis serpent
Radis serpent saumure

Radis serpent

Raphanus sativus

Connaissez-vous le radis serpent?

Ce n’est que cette année que je j’ai découvert ce radis, que l’on classe dans les “variétés anciennes”. 

Ce radis peut être récolté au fil de l’été, dès le mois de juillet. L’une de ses particularités est que l’on mange les siliques – sorte de gousses mesurant jusqu’à 15 cm de long. Pour une fois, ce n’est donc pas la racine que l’on va récolter.

Autant l’avouer: le radis serpent déménage les papilles!

Vous pouvez l’ajouter cru, dans la salade. Ou alors, en préparer des bocaux de lacto-fermenation, en simple saumure.

Pour cela, disposer les radis, sans trop les tasser, dans un bocal à fermeture mécanique et joint caoutchouc. Puis recouvrir d’une saumure, à raison de 30 gr de sel marin fin, pour un litre d’eau. C’est tout!
 
A déguster, ensuite, au fil de l’hiver, comme on mangerait des pickles, ou des cornichons au vinaigre.
 
A noter, par ailleurs, que les feuilles pourraient également se manger en légumes. Je n’ai pas encore essayé!
 
Sources: Martin Weiss, Albi von Felten, Saveurs d’antan, Rossolis, 2013.
 
 

Share:

Facebook
Email
Print

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Table des matières

On Key

Related Posts

La Patience du Genévrier

Chronique radio du 18.12.2022 Mais pourquoi la patience du genévrier? Vous le découvrirez vers la fin de cette chronique! Aussi, et surtout, vous découvrirez une recette festive flamboyante un peu

Faudrait-il cartographier l’univers?

Ou plutôt, se lier d’amitié avec une étoile, nuit après nuit? Avez-vous déjà caressé le fantasme d’embrasser l’univers tout entier d’un seul regard? D’effleurer du bout des doigts la voûte

L’audace du bocal

Mon arrière-grand-mère Gabrielle aurait ri… et applaudi En cette saison où les ombres parlent et les vivants écoutent, posez-vous et imaginez: chaque bocal de légumes lacto-fermentés comme une étincelle de

Manifeste pour une cuisine de résilience

Une alimentation engagéepour faire face à l’adversité Il y a peu, je disais déjà que le smoothie vert ne sauverait pas la planète (cf. cet article) Aujourd’hui, j’ai envie d’aller

Retour en haut